Articles Jour 8
BONNJOUURR,
ça fait quelques jours que je n’ai plus écrit et ça me dérange un peu, car il se passe tellement de choses en une journée que j’ai peur d’en oublier certaines !
Je vais commencer par parler d’aujourd’hui… Réveil à 6h45, le temps de prendre sa douche (qui est plus qu’indispensable ici ), de déjeuner et à 8h on se trouvait à l’hôpital où se trouve notre chantier. A peine arriver on découvre notre travail! HORRIBLE, on doit poncer les murs. Mais ce n’est pas 2 ou 3 murs, c’est au moins 1.000.000 !!! Les ouvriers qui nous expliquent ce qu’il faut faire ne cessent de nous observer sans rien faire, ils nous prennent même en photo. Personnellement, il y en a un qui m’énerve un peu :D, il n’arrête pas de me dire comment faire pour avoir plus facile à travailler alors que c’est pas vraiment plus facile. Mais c’est pas grave !
Aujourd’hui, à part quelques uns du groupe, on n’arrêtait pas de faire des pauses. C’est vraiment très épuisant! On vient de rentrer à l’hôpital de Santa Maria, celui où nous logeons (qui est vraiment génial niveau confort) avec des rickshaws qui bien gentiment nous on ramené jusqu’à la porte de notre chez nous :p ! Maintenant je vais retourné à mon dîner parce que ce travail m’a donné une faim de loup (comme d’habitude ).
Katia.
C’est parti, nous avons commencé le boulot… !
La camionnette du Khushto Hospital est venu nous chercher à 7h45 pour qu’à 8h00, nous puissions participer avec tout le personnel de l’hôpital à la prière du matin. La sœur « Boro Boss » (grand chef en bangla) nous a présenté en expliquant qui nous étions, d’où nous venions ainsi que le but de notre visite.
Après un petit moment de recueillement, nous avons mis nos tenues de combat et nous avons rejoint les ouvriers locaux pour démarrer le chantier. La première heure, nous avons surtout essayer de comprendre ce qu’on nous voulait exactement, car poncer les murs est une chose, savoir le niveau de finition souhaité en est une autre.
Nous avons travaillé deux fois deux heures, avec une petite pause café. Ce rythme correspond assez au rythme de l’école et nous y avons donc trouvé notre compte. Le travail est simple, mais sous 35 degrés et 70% d’humidité il prend vite une allure de galère, le coach décide donc de ménager les troupes et nous en resterons là pour aujourd’hui… !
Alain.